La Réserve fédérale devrait ralentir le rythme des baisses de taux d’intérêt, et les prévisions de revenus nets d’intérêts des grandes banques de Wall Street devraient être révisées à la hausse
Il y a quelques mois à peine, les plus grandes banques de Wall Street ont averti à tour de rôle que la série record de leur plus grande source de revenus touchait à sa fin. Aujourd’hui, cette préoccupation semble avoir disparu. À la suite de la publication des dernières données de l’IPC américain, on s’attend généralement à ce que la Fed réduise les taux d’intérêt moins que prévu, ce qui est positif pour les perspectives de revenus de marge d’intérêts dans le secteur bancaire. Les analystes s’attendent à ce que certaines grandes banques relèvent leurs prévisions de revenus nets d’intérêts (NII) pour 2024 dans leurs rapports sur les résultats du premier trimestre. JPMorgan Chase & Co. avait précédemment estimé son NII annuel à 90 milliards de dollars, mais ce chiffre est maintenant conservateur, et l’accent n’est plus mis sur la question de savoir si la société augmentera ses prévisions, mais de combien.
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La Réserve fédérale devrait ralentir le rythme des baisses de taux d’intérêt, et les prévisions de revenus nets d’intérêts des grandes banques de Wall Street devraient être révisées à la hausse
Il y a quelques mois à peine, les plus grandes banques de Wall Street ont averti à tour de rôle que la série record de leur plus grande source de revenus touchait à sa fin. Aujourd’hui, cette préoccupation semble avoir disparu. À la suite de la publication des dernières données de l’IPC américain, on s’attend généralement à ce que la Fed réduise les taux d’intérêt moins que prévu, ce qui est positif pour les perspectives de revenus de marge d’intérêts dans le secteur bancaire. Les analystes s’attendent à ce que certaines grandes banques relèvent leurs prévisions de revenus nets d’intérêts (NII) pour 2024 dans leurs rapports sur les résultats du premier trimestre. JPMorgan Chase & Co. avait précédemment estimé son NII annuel à 90 milliards de dollars, mais ce chiffre est maintenant conservateur, et l’accent n’est plus mis sur la question de savoir si la société augmentera ses prévisions, mais de combien.