Faire des investissements, la première étape consiste à savoir lire le marché. Lire le marché ne signifie pas fixer l’écran toute la journée, mais rapidement extraire des informations clés à partir des données du marché, pour juger la force derrière les mouvements de prix. Le marché ne mentira jamais, il montre les tendances et les retournements de façon la plus directe, et votre tâche est d’apprendre à le « comprendre ».
Analyse technique et fondamentale : les deux jambes de la décision d’investissement
Beaucoup de débutants ne savent pas quoi regarder en premier. En réalité, l’analyse d’investissement peut être divisée en deux niveaux, comme regarder une personne : il faut à la fois examiner sa constitution physique et ses compétences professionnelles.
La fondamentale détermine la valeur à long terme
La fondamentale, c’est « la société vaut-elle vraiment de l’argent ? » Vous devez étudier la capacité opérationnelle de l’entreprise, ses perspectives sectorielles, sa santé financière. L’outil le plus direct est le rapport financier — le compte de résultat pour la rentabilité, le bilan pour la solidité financière, le tableau des flux de trésorerie pour la véritable trésorerie.
Prenons le compte de résultat : il montre comment l’entreprise gagne de l’argent sur une période : en commençant par le chiffre d’affaires, en déduisant les coûts pour obtenir la marge brute, puis en déduisant les dépenses pour obtenir le résultat opérationnel, et enfin le bénéfice net après impôts. Une bonne société devrait montrer une tendance de profitabilité en croissance continue, et non une réussite éphémère.
Le bilan, quant à lui, ressemble à un instantané financier de l’entreprise : il indique combien d’actifs elle possède, combien elle doit, et la valeur des fonds propres. Des indicateurs comme le ratio de liquidité ou le ratio d’endettement permettent de juger rapidement si l’entreprise est lourdement endettée ou si sa structure est saine.
Le tableau des flux de trésorerie est le plus important — car les bénéfices peuvent être falsifiés, mais la trésorerie ne l’est pas. Même si une entreprise affiche des profits comptables, si aucune trésorerie réelle n’entre, elle ne pourra pas durer longtemps.
L’analyse technique capte le rythme à court terme
Si la fondamentale concerne la vision à long terme, l’analyse technique concerne la vision à court terme. En étudiant l’historique des prix et des volumes de transaction, elle prédit les mouvements de prix futurs possibles. Elle convient aux traders à moyen et court terme, ainsi qu’aux investisseurs qui veulent saisir le bon moment pour entrer.
L’outil central de l’analyse technique est le graphique en chandeliers (K-line). Un chandelier contient quatre prix clés pour une période spécifique (par exemple une journée) : le prix d’ouverture, le prix de clôture, le prix le plus haut, le plus bas. Si le prix de clôture est supérieur à celui d’ouverture, c’est une « bougie rouge » (hausse), sinon c’est une « bougie noire » (baisse). La succession de ces chandeliers permet de voir la tendance, la volatilité, voire les points de retournement.
Quatre éléments fondamentaux pour lire le marché
En ouvrant n’importe quel logiciel de lecture de marché, la première chose qui apparaît est un tableau. Maîtriser ces informations de base est la première étape pour comprendre le marché.
Code de l’action : l’identifiant pour se repérer rapidement
Chaque action a un code unique. Sur le marché taïwanais, c’est généralement 4 chiffres suivi de .TW, comme « 2634.TW » pour Hanshano. Sur le marché américain, c’est entre 2 et 6 lettres, comme « TSM » pour Taiwan Semiconductor. Le code évite la confusion — « Netflix » et «奈飛» désignent la même société, mais il n’y a qu’un seul code.
Prix : le centre des échanges
Le prix est le dernier prix de transaction en temps réel, mis à jour après chaque opération. Le prix d’ouverture est déterminé par la séance de pré-ouverture, le prix de clôture est le dernier prix à la fin de la séance, souvent utilisé comme « prix de référence » pour calculer la variation du lendemain.
Volume de transaction : le thermomètre du marché
Le volume reflète le nombre de lots échangés sur une période donnée (par exemple une journée, une semaine), c’est un indicateur direct de l’activité du marché. Plus le volume est élevé, plus le marché est actif, avec une attention accrue des acheteurs et vendeurs, et plus la volatilité est probable.
Sous le graphique en chandeliers, le volume est souvent représenté par des barres. Plus la barre est haute, plus la trading est intense durant cette période. En combinant volume et prix moyen de transaction, on peut aussi calculer le montant échangé ; en divisant le volume par le nombre total d’actions, on obtient le « taux de rotation », qui reflète la fluidité du marché. Sur le marché américain, le volume est aussi important, mais sans limite de variation, donc il reflète souvent plus fidèlement l’état d’esprit du marché.
Variation en pourcentage : la mesure du changement relatif
La variation est la direction du changement du prix par rapport au prix de clôture de la veille, indiquée par « + » pour une hausse, « - » pour une baisse. La différence de prix en pourcentage est ce que l’on appelle couramment la « variation en pourcentage ».
Sur le marché taïwanais, il y a une limite quotidienne de ±10 %, si la variation atteint cette limite, c’est « limite haute » (涨停), ou « limite basse » (跌停). Sur le marché américain, il n’y a pas de limite, donc la variation peut théoriquement être infinie. Attention à ne pas confondre avec la couleur — sur le marché taïwanais et chinois, le rouge indique une hausse, le vert une baisse ; sur le marché américain et hongkongais, c’est l’inverse : rouge pour la baisse, vert pour la hausse.
Indicateurs spécifiques du marché taïwanais : les trois grands investisseurs institutionnels
Les investisseurs taïwanais suivent particulièrement les mouvements des « trois grands investisseurs institutionnels », dont leurs achats et ventes nettes sont considérés comme un indicateur de tendance.
Qui sont ces trois grands ?
Les fonds étrangers (外資) sont des investisseurs institutionnels étrangers, avec les fonds les plus importants, représentant environ 30-40 % du volume de transactions, préférant une stratégie à long terme. Les fonds locaux (投信) sont des sociétés de gestion taïwanaises, souvent en stratégie à moyen ou court terme pour améliorer leur performance trimestrielle, avec des opérations de « book-building » en fin de trimestre. Les dealers (自營商) sont les départements de trading propre des courtiers, divisés en deux : ceux qui font du trading à court terme pour profiter des écarts (自營商), et ceux qui font de la couverture (避險自營).
La logique derrière l’observation des investisseurs institutionnels
Après la clôture, la Bourse de Taiwan publie les chiffres de leurs achats et ventes nettes. Si les étrangers achètent en continu, le marché tend à être haussier ; si les trois grands vendent tous, cela peut indiquer une phase de consolidation ou de correction. Cependant, ces investisseurs peuvent aussi se tromper ou se contredire, il est donc conseillé de combiner cette information avec l’analyse fondamentale et technique pour éviter les faux signaux.
Lire le marché avec le graphique en chandeliers et le sentiment du marché
Le chandelier est l’outil de base de l’analyse technique. Il contient quatre prix : ouverture, clôture, plus haut, plus bas. Si la clôture est supérieure à l’ouverture, c’est une bougie rouge (hausse), sinon une bougie noire (baisse).
La partie pleine du chandelier montre l’amplitude de la variation, les mèches (ou « ombres ») en haut et en bas indiquent la volatilité intra-journalière. Par exemple, une longue mèche supérieure indique que le prix a été poussé en haut mais a été ramené en dessous ; une longue mèche inférieure indique une tentative de rebond après un creux.
Une succession de chandeliers permet de repérer rapidement la tendance et les points de retournement potentiels.
Tableau rapide des indicateurs techniques courants
Les débutants n’ont pas besoin de maîtriser tous les indicateurs dès le départ, mais connaître quelques-uns des plus courants peut accélérer votre apprentissage.
Moyennes mobiles (MA) — La base pour juger la tendance. MA5, MA20, MA60 alignées dans le même sens indiquent une « tendance haussière » (tendance haussière), dans le sens inverse une « tendance baissière » (tendance baissière). Le prix au-dessus des moyennes sert de support, en dessous comme résistance.
RSI( — L’indicateur de surachat / survente. Entre 0 et 100, >70 indique une situation de surachat susceptible de corriger, <30 une situation de survente susceptible de rebondir. La divergence entre RSI et prix (prix atteignant de nouveaux sommets sans RSI, ou inversement) est un signal d’alerte important pour un retournement.
Stochastique)KDJ( — Pour repérer les retournements à court terme. Sur une échelle de 0 à 100, >80 indique une surachat, <20 une survente. Les croisements d’or et de mort sont des signaux d’achat ou de vente principaux.
MACD — Pour analyser la tendance et la dynamique. Composé de la ligne DIF, la ligne MACD et l’histogramme. Surveillez les croisements (golden cross / death cross), la contraction ou l’expansion de l’histogramme (indiquant la force du mouvement), et la divergence avec le prix.
Bollinger Bands — Pour mesurer la volatilité. Composés de la bande médiane (moyenne mobile), la bande supérieure (résistance) et la bande inférieure (support). L’écartement des bandes indique une forte volatilité, un début de tendance ; leur contraction indique une période de consolidation.
Plateformes et sites pour la lecture du marché
Pour faire du bon trading, il faut de bons outils. Choisir une plateforme de lecture de marché efficace permet d’accéder à l’information rapidement et avec précision.
Applications de trading — Les plateformes officielles offrent des services de trading et fournissent aussi des cotations en temps réel. Ces données sont généralement de bonne qualité, précises et à jour. Beaucoup proposent aussi gratuitement des outils d’analyse technique, calendriers économiques, etc.
Sites d’informations — En plus des applications de trading, voici quelques sites d’informations à connaître :
L’essence de la lecture du marché est d’extraire des informations pertinentes dans un marché chaotique, pour repérer des opportunités d’investissement. Après avoir maîtrisé les concepts fondamentaux, l’étape suivante est d’appliquer l’analyse dans la pratique.
Commencez par les bases : code de l’action, prix, volume, puis progressez vers les graphiques en chandeliers, l’analyse fondamentale, les indicateurs techniques. C’est un processus progressif. Que ce soit le marché taïwanais ou américain, à long terme ou à court terme, la logique de lecture reste la même — le marché montre toujours sa véritable tendance de la manière la plus authentique, il suffit d’apprendre à observer et à interpréter.
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Comment analyser les actions ? Les points clés pour les débutants pour interpréter le marché
Faire des investissements, la première étape consiste à savoir lire le marché. Lire le marché ne signifie pas fixer l’écran toute la journée, mais rapidement extraire des informations clés à partir des données du marché, pour juger la force derrière les mouvements de prix. Le marché ne mentira jamais, il montre les tendances et les retournements de façon la plus directe, et votre tâche est d’apprendre à le « comprendre ».
Analyse technique et fondamentale : les deux jambes de la décision d’investissement
Beaucoup de débutants ne savent pas quoi regarder en premier. En réalité, l’analyse d’investissement peut être divisée en deux niveaux, comme regarder une personne : il faut à la fois examiner sa constitution physique et ses compétences professionnelles.
La fondamentale détermine la valeur à long terme
La fondamentale, c’est « la société vaut-elle vraiment de l’argent ? » Vous devez étudier la capacité opérationnelle de l’entreprise, ses perspectives sectorielles, sa santé financière. L’outil le plus direct est le rapport financier — le compte de résultat pour la rentabilité, le bilan pour la solidité financière, le tableau des flux de trésorerie pour la véritable trésorerie.
Prenons le compte de résultat : il montre comment l’entreprise gagne de l’argent sur une période : en commençant par le chiffre d’affaires, en déduisant les coûts pour obtenir la marge brute, puis en déduisant les dépenses pour obtenir le résultat opérationnel, et enfin le bénéfice net après impôts. Une bonne société devrait montrer une tendance de profitabilité en croissance continue, et non une réussite éphémère.
Le bilan, quant à lui, ressemble à un instantané financier de l’entreprise : il indique combien d’actifs elle possède, combien elle doit, et la valeur des fonds propres. Des indicateurs comme le ratio de liquidité ou le ratio d’endettement permettent de juger rapidement si l’entreprise est lourdement endettée ou si sa structure est saine.
Le tableau des flux de trésorerie est le plus important — car les bénéfices peuvent être falsifiés, mais la trésorerie ne l’est pas. Même si une entreprise affiche des profits comptables, si aucune trésorerie réelle n’entre, elle ne pourra pas durer longtemps.
L’analyse technique capte le rythme à court terme
Si la fondamentale concerne la vision à long terme, l’analyse technique concerne la vision à court terme. En étudiant l’historique des prix et des volumes de transaction, elle prédit les mouvements de prix futurs possibles. Elle convient aux traders à moyen et court terme, ainsi qu’aux investisseurs qui veulent saisir le bon moment pour entrer.
L’outil central de l’analyse technique est le graphique en chandeliers (K-line). Un chandelier contient quatre prix clés pour une période spécifique (par exemple une journée) : le prix d’ouverture, le prix de clôture, le prix le plus haut, le plus bas. Si le prix de clôture est supérieur à celui d’ouverture, c’est une « bougie rouge » (hausse), sinon c’est une « bougie noire » (baisse). La succession de ces chandeliers permet de voir la tendance, la volatilité, voire les points de retournement.
Quatre éléments fondamentaux pour lire le marché
En ouvrant n’importe quel logiciel de lecture de marché, la première chose qui apparaît est un tableau. Maîtriser ces informations de base est la première étape pour comprendre le marché.
Code de l’action : l’identifiant pour se repérer rapidement
Chaque action a un code unique. Sur le marché taïwanais, c’est généralement 4 chiffres suivi de .TW, comme « 2634.TW » pour Hanshano. Sur le marché américain, c’est entre 2 et 6 lettres, comme « TSM » pour Taiwan Semiconductor. Le code évite la confusion — « Netflix » et «奈飛» désignent la même société, mais il n’y a qu’un seul code.
Prix : le centre des échanges
Le prix est le dernier prix de transaction en temps réel, mis à jour après chaque opération. Le prix d’ouverture est déterminé par la séance de pré-ouverture, le prix de clôture est le dernier prix à la fin de la séance, souvent utilisé comme « prix de référence » pour calculer la variation du lendemain.
Volume de transaction : le thermomètre du marché
Le volume reflète le nombre de lots échangés sur une période donnée (par exemple une journée, une semaine), c’est un indicateur direct de l’activité du marché. Plus le volume est élevé, plus le marché est actif, avec une attention accrue des acheteurs et vendeurs, et plus la volatilité est probable.
Sous le graphique en chandeliers, le volume est souvent représenté par des barres. Plus la barre est haute, plus la trading est intense durant cette période. En combinant volume et prix moyen de transaction, on peut aussi calculer le montant échangé ; en divisant le volume par le nombre total d’actions, on obtient le « taux de rotation », qui reflète la fluidité du marché. Sur le marché américain, le volume est aussi important, mais sans limite de variation, donc il reflète souvent plus fidèlement l’état d’esprit du marché.
Variation en pourcentage : la mesure du changement relatif
La variation est la direction du changement du prix par rapport au prix de clôture de la veille, indiquée par « + » pour une hausse, « - » pour une baisse. La différence de prix en pourcentage est ce que l’on appelle couramment la « variation en pourcentage ».
Sur le marché taïwanais, il y a une limite quotidienne de ±10 %, si la variation atteint cette limite, c’est « limite haute » (涨停), ou « limite basse » (跌停). Sur le marché américain, il n’y a pas de limite, donc la variation peut théoriquement être infinie. Attention à ne pas confondre avec la couleur — sur le marché taïwanais et chinois, le rouge indique une hausse, le vert une baisse ; sur le marché américain et hongkongais, c’est l’inverse : rouge pour la baisse, vert pour la hausse.
Indicateurs spécifiques du marché taïwanais : les trois grands investisseurs institutionnels
Les investisseurs taïwanais suivent particulièrement les mouvements des « trois grands investisseurs institutionnels », dont leurs achats et ventes nettes sont considérés comme un indicateur de tendance.
Qui sont ces trois grands ?
Les fonds étrangers (外資) sont des investisseurs institutionnels étrangers, avec les fonds les plus importants, représentant environ 30-40 % du volume de transactions, préférant une stratégie à long terme. Les fonds locaux (投信) sont des sociétés de gestion taïwanaises, souvent en stratégie à moyen ou court terme pour améliorer leur performance trimestrielle, avec des opérations de « book-building » en fin de trimestre. Les dealers (自營商) sont les départements de trading propre des courtiers, divisés en deux : ceux qui font du trading à court terme pour profiter des écarts (自營商), et ceux qui font de la couverture (避險自營).
La logique derrière l’observation des investisseurs institutionnels
Après la clôture, la Bourse de Taiwan publie les chiffres de leurs achats et ventes nettes. Si les étrangers achètent en continu, le marché tend à être haussier ; si les trois grands vendent tous, cela peut indiquer une phase de consolidation ou de correction. Cependant, ces investisseurs peuvent aussi se tromper ou se contredire, il est donc conseillé de combiner cette information avec l’analyse fondamentale et technique pour éviter les faux signaux.
Lire le marché avec le graphique en chandeliers et le sentiment du marché
Le chandelier est l’outil de base de l’analyse technique. Il contient quatre prix : ouverture, clôture, plus haut, plus bas. Si la clôture est supérieure à l’ouverture, c’est une bougie rouge (hausse), sinon une bougie noire (baisse).
La partie pleine du chandelier montre l’amplitude de la variation, les mèches (ou « ombres ») en haut et en bas indiquent la volatilité intra-journalière. Par exemple, une longue mèche supérieure indique que le prix a été poussé en haut mais a été ramené en dessous ; une longue mèche inférieure indique une tentative de rebond après un creux.
Une succession de chandeliers permet de repérer rapidement la tendance et les points de retournement potentiels.
Tableau rapide des indicateurs techniques courants
Les débutants n’ont pas besoin de maîtriser tous les indicateurs dès le départ, mais connaître quelques-uns des plus courants peut accélérer votre apprentissage.
Moyennes mobiles (MA) — La base pour juger la tendance. MA5, MA20, MA60 alignées dans le même sens indiquent une « tendance haussière » (tendance haussière), dans le sens inverse une « tendance baissière » (tendance baissière). Le prix au-dessus des moyennes sert de support, en dessous comme résistance.
RSI( — L’indicateur de surachat / survente. Entre 0 et 100, >70 indique une situation de surachat susceptible de corriger, <30 une situation de survente susceptible de rebondir. La divergence entre RSI et prix (prix atteignant de nouveaux sommets sans RSI, ou inversement) est un signal d’alerte important pour un retournement.
Stochastique)KDJ( — Pour repérer les retournements à court terme. Sur une échelle de 0 à 100, >80 indique une surachat, <20 une survente. Les croisements d’or et de mort sont des signaux d’achat ou de vente principaux.
MACD — Pour analyser la tendance et la dynamique. Composé de la ligne DIF, la ligne MACD et l’histogramme. Surveillez les croisements (golden cross / death cross), la contraction ou l’expansion de l’histogramme (indiquant la force du mouvement), et la divergence avec le prix.
Bollinger Bands — Pour mesurer la volatilité. Composés de la bande médiane (moyenne mobile), la bande supérieure (résistance) et la bande inférieure (support). L’écartement des bandes indique une forte volatilité, un début de tendance ; leur contraction indique une période de consolidation.
Plateformes et sites pour la lecture du marché
Pour faire du bon trading, il faut de bons outils. Choisir une plateforme de lecture de marché efficace permet d’accéder à l’information rapidement et avec précision.
Applications de trading — Les plateformes officielles offrent des services de trading et fournissent aussi des cotations en temps réel. Ces données sont généralement de bonne qualité, précises et à jour. Beaucoup proposent aussi gratuitement des outils d’analyse technique, calendriers économiques, etc.
Sites d’informations — En plus des applications de trading, voici quelques sites d’informations à connaître :
De l’initiation à la pratique
L’essence de la lecture du marché est d’extraire des informations pertinentes dans un marché chaotique, pour repérer des opportunités d’investissement. Après avoir maîtrisé les concepts fondamentaux, l’étape suivante est d’appliquer l’analyse dans la pratique.
Commencez par les bases : code de l’action, prix, volume, puis progressez vers les graphiques en chandeliers, l’analyse fondamentale, les indicateurs techniques. C’est un processus progressif. Que ce soit le marché taïwanais ou américain, à long terme ou à court terme, la logique de lecture reste la même — le marché montre toujours sa véritable tendance de la manière la plus authentique, il suffit d’apprendre à observer et à interpréter.