Une actrice a récemment partagé son point de vue sur l'évolution de l'industrie du divertissement. Elle a souligné que le cinéma et la télévision ne sont plus vraiment axés sur la narration—ils se sont transformés en tout autre chose. Tout tourne désormais autour de la captation de l'attention et du refus de la lâcher.
Les réseaux sociaux ont changé la donne. Les plateformes ont entraîné tout le monde à faire défiler sans fin, à la recherche de la prochaine dose de dopamine. Aujourd'hui, les productions sont conçues de la même manière. Accrocher rapidement les spectateurs, les garder captifs plus longtemps. L'art ? Il est devenu secondaire face à l'économie de l'attention.
Ce n'est pas qu'un problème d'Hollywood. Chaque créateur de contenu, chaque plateforme, chaque projet en quête de visibilité mène le même combat. Qu'il s'agisse d'un film de deux heures ou d'un clip de deux minutes, la monnaie, c'est l'attention. Il faut la capter ou la perdre.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
8 J'aime
Récompense
8
6
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
ThatsNotARugPull
· Il y a 23h
Le trafic est roi
Voir l'originalRépondre0
P2ENotWorking
· 12-06 15:31
La culture du fast-food dévore l’art
Voir l'originalRépondre0
WalletDetective
· 12-06 15:24
La priorité donnée au trafic tue des gens
Voir l'originalRépondre0
AirdropDreamer
· 12-06 15:24
L’essence de la “compétition interne” réside dans le trafic.
Une actrice a récemment partagé son point de vue sur l'évolution de l'industrie du divertissement. Elle a souligné que le cinéma et la télévision ne sont plus vraiment axés sur la narration—ils se sont transformés en tout autre chose. Tout tourne désormais autour de la captation de l'attention et du refus de la lâcher.
Les réseaux sociaux ont changé la donne. Les plateformes ont entraîné tout le monde à faire défiler sans fin, à la recherche de la prochaine dose de dopamine. Aujourd'hui, les productions sont conçues de la même manière. Accrocher rapidement les spectateurs, les garder captifs plus longtemps. L'art ? Il est devenu secondaire face à l'économie de l'attention.
Ce n'est pas qu'un problème d'Hollywood. Chaque créateur de contenu, chaque plateforme, chaque projet en quête de visibilité mène le même combat. Qu'il s'agisse d'un film de deux heures ou d'un clip de deux minutes, la monnaie, c'est l'attention. Il faut la capter ou la perdre.