Bien sûr, la blockchain est transparente par conception. Mais la vraie question est : les autorités de régulation disposent-elles réellement de l'infrastructure nécessaire pour remonter les adresses de portefeuilles anonymes jusqu’aux citoyens individuels au Nigeria ? Et même si la technologie existe, où trouver la main-d'œuvre capable de surveiller des millions de transactions on-chain qui ont lieu chaque jour ? L’écart entre la transparence théorique et l’application pratique reste immense.
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SellLowExpert
· 12-12 15:40
La théorie est parfaite, mais l'exécution est une tâche extrêmement difficile. Avec les ressources limitées des autorités de régulation, comment peuvent-elles suivre le flux sur la blockchain...
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FlashLoanLarry
· 12-10 15:58
Les infrastructures des autorités de régulation de la ngl ne suivent pas le volume des transactions en chaîne, la théorie est magnifique mais la réalité est décevante.
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MEVVictimAlliance
· 12-09 17:57
Tu as raison, les régulateurs n'ont tout simplement pas assez de personnel pour suivre le volume de transactions on-chain à chaque seconde. Il y a un énorme écart entre la théorie et la réalité.
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down_only_larry
· 12-09 17:55
La théorie, c'est une chose, mais la mise en pratique, c'en est une autre. Est-ce que les régulateurs au Nigeria en ont vraiment les moyens ? J'en doute.
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TokenomicsTherapist
· 12-09 17:48
La théorie est très belle, mais la réalité est bien plus dure... Les régulateurs n'ont déjà pas assez de personnel, alors comment pourraient-ils suivre les portefeuilles anonymes ?
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SnapshotLaborer
· 12-09 17:48
Théoriquement parfait, mais la réalité est tout autre. Les régulateurs nigérians ont-ils vraiment le temps de surveiller les transactions on-chain tous les jours ?
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memecoin_therapy
· 12-09 17:41
Les autorités de régulation ont-elles vraiment le temps de surveiller chaque transaction on-chain ? Au Nigeria, il faudrait sans doute recruter dix mille personnes rien que pour suivre le rythme...
Bien sûr, la blockchain est transparente par conception. Mais la vraie question est : les autorités de régulation disposent-elles réellement de l'infrastructure nécessaire pour remonter les adresses de portefeuilles anonymes jusqu’aux citoyens individuels au Nigeria ? Et même si la technologie existe, où trouver la main-d'œuvre capable de surveiller des millions de transactions on-chain qui ont lieu chaque jour ? L’écart entre la transparence théorique et l’application pratique reste immense.