Récemment, j'ai remarqué une observation assez intéressante : ces dernières années, les opérations de réduction de participation des grands actionnaires sont de plus en plus créatives.

Mais peu importe la manière dont ils encaissent et quittent le navire, il y a une règle d'or : il vaut mieux éviter ce genre d'actions. La logique est simple : si même les initiés sont pressés de partir, c'est qu'ils n'ont aucune confiance dans l'avenir de leur propre entreprise. Quand le patron s'en va, il ne reste qu'une foule d'investisseurs particuliers pour ramasser les morceaux, et sans leadership, comment l'entreprise pourrait-elle rebondir par la suite ?

Quant à ces opérations flagrantes de "divorce par accord" suivies d'une liquidation totale, c'est encore plus évident. Face à ce genre de signaux, les investisseurs ordinaires devraient vraiment rester vigilants et ne pas devenir le marchepied de ceux qui encaissent. Le marché est truffé de ce genre de pièges, il est déjà difficile de les éviter, alors pourquoi foncer tête baissée ?