Sous la direction du ministère des Finances pakistanais : gouvernement, banque centrale et bourses réunis pour discuter de la mise en œuvre d'un cadre réglementaire pour les actifs numériques
[Bitpush] Le Pakistan a récemment pris une initiative majeure : le ministre des Finances, Muhammad Aurangzeb, et le président de la PVARA, Bilal Bin Saqib, ont rassemblé les hauts responsables de la banque centrale, les PDG des principales banques, ainsi que le CEO mondial d’une grande plateforme d’échange, Richard Teng, pour discuter spécifiquement de la manière d’aborder la question des actifs numériques.
Le cœur des discussions était très concret : comment rendre les canaux d’entrée et de sortie de fonds à la fois sûrs et conformes à la réglementation ? Comment augmenter la transparence du marché ? Après tout, pour construire un écosystème fiable d’actifs numériques, il faut d’abord solidifier ces infrastructures de base.
Encore plus intéressant, ils se sont penchés sur les applications concrètes de la technologie blockchain. Le Pakistan enregistre chaque année 38 milliards de dollars de flux de transferts de fonds ; s’il est possible de réduire les coûts grâce à des solutions on-chain, ce n’est pas négligeable. Par ailleurs, la tokenisation de la dette souveraine a également été mise sur la table — il semble donc que l’exploration officielle des outils financiers numériques soit déjà bien au-delà du stade conceptuel.
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UnluckyValidator
· 12-06 07:06
L'intervention officielle du Pakistan cette fois-ci donne vraiment l'impression qu'ils sont sérieux... Si l'optimisation des coûts de transfert de fonds aboutit, cela aura un impact sur toute l'Asie du Sud-Est.
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DataBartender
· 12-06 07:05
Les 38 milliards de dollars de frais de transfert peuvent être réduits, c'est là que la blockchain trouve véritablement son utilité, pas dans la spéculation sur les cryptomonnaies.
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ImpermanentPhilosopher
· 12-06 07:01
Cette manœuvre du Pakistan est effectivement intéressante : il est possible de réduire les coûts de transfert de 38 milliards de dollars, cela vaut vraiment la peine d’essayer.
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wagmi_eventually
· 12-06 07:01
Oh, les actions du Pakistan sont intéressantes cette fois-ci, même la banque centrale s'est assise à la table des discussions, ça devient vraiment sérieux.
Attends, ils veulent réduire les coûts sur 38 milliards de dollars de flux de transferts grâce à la blockchain ? Ça ferait économiser combien, ça ? Je ne peux pas calculer mais rien qu'à l'entendre, ça semble super rentable, haha.
La tokenisation de la dette souveraine, c'est là que réside le vrai potentiel, non ? Les autorités commencent à passer aux choses sérieuses.
On dirait que les gouvernements asiatiques ont compris, alors qu'en Occident, on continue de se rejeter la faute.
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SchrodingerProfit
· 12-06 06:50
Attends, le Pakistan va vraiment mettre en place une armée régulière ? Mais si le coût des transferts de fonds de 38 milliards de dollars diminue... Si ça se concrétise, c'est vraiment rentable.
Sous la direction du ministère des Finances pakistanais : gouvernement, banque centrale et bourses réunis pour discuter de la mise en œuvre d'un cadre réglementaire pour les actifs numériques
[Bitpush] Le Pakistan a récemment pris une initiative majeure : le ministre des Finances, Muhammad Aurangzeb, et le président de la PVARA, Bilal Bin Saqib, ont rassemblé les hauts responsables de la banque centrale, les PDG des principales banques, ainsi que le CEO mondial d’une grande plateforme d’échange, Richard Teng, pour discuter spécifiquement de la manière d’aborder la question des actifs numériques.
Le cœur des discussions était très concret : comment rendre les canaux d’entrée et de sortie de fonds à la fois sûrs et conformes à la réglementation ? Comment augmenter la transparence du marché ? Après tout, pour construire un écosystème fiable d’actifs numériques, il faut d’abord solidifier ces infrastructures de base.
Encore plus intéressant, ils se sont penchés sur les applications concrètes de la technologie blockchain. Le Pakistan enregistre chaque année 38 milliards de dollars de flux de transferts de fonds ; s’il est possible de réduire les coûts grâce à des solutions on-chain, ce n’est pas négligeable. Par ailleurs, la tokenisation de la dette souveraine a également été mise sur la table — il semble donc que l’exploration officielle des outils financiers numériques soit déjà bien au-delà du stade conceptuel.