Comment peut-on dormir alors que son compte affiche une perte latente de près de 40% ? Ce n’est pas une question d’insouciance, c’est la gestion des positions qui protège tout.

Lors du crash de FTX en novembre 2022, mon portefeuille a fondu de 38% en une nuit, mais j’ai quand même dormi comme un bébé – parce que je n’étais engagé qu’à moitié, le reste des cartouches bien au chaud.

Huit ans à batailler dans ce milieu, j’ai une règle d’or : diviser le capital en cinq parts, n’en utiliser qu’une seule à chaque entrée. Stop loss verrouillé à 10% par position, ce qui fait que chaque erreur ne coûte que 2% du total ; même en enchaînant cinq mauvaises positions, tu n’auras perdu que 10%, il te reste encore quatre cartouches pour rebondir.

Il faut être encore plus discipliné sur la prise de profits : à +20%, je sors par paliers, je retire en USDC pour faire de l’arbitrage — rien que sur cette partie, de décembre dernier à maintenant, j’ai sécurisé un rendement annualisé de 27%, mieux que beaucoup de fermes de minage.

Le mois dernier, un jeune que j’accompagne est parti avec 30 000 USDT, en appliquant strictement cette méthode, il a doublé à 62 000 en trois mois. Pendant le flash crash de 22% sur XRP, il a évité la casse simplement parce qu’il refuse d’acheter si la bougie journalière ne tient pas la moyenne mobile à 60 jours.

Si la tendance n’est pas bonne, il vaut mieux rester immobile. Mieux vaut rater une opportunité que d’attraper un couteau qui tombe.

J’ai déjà essuyé toutes les galères pour toi sur ce chemin, ne va pas te jeter dedans les yeux fermés.